mercredi 16 mai 2012

Flirt

Je suis toujours gaie et perplexe devant les moments où je me sens physiquement incapable de ne pas flirter. Les moments ou jai un grand sourire (niaiseux), des petits regards et je me surprend a me mordre la levre inferieure et à faire des petites jokes ou à être semi-familiere avec un inconnu.

Ce matin, je devais passer voir un mec pour me faire approuver des reçus de travail. Un mec que j'ai vu une fois il ya un mois. Je ne le trouve pas particulièrement beau mais je sais pas, il me fait de l'effet. J'avoue avoir pensé au fait que je le verrais en choisissant mon linge ce matin (jeans et top noir straight s'est fait botté pout petite robe a pois ^^). Et là, 10h15 me voila a son bureau a avoir une experience transcendentale: je me vois aller de loin mais je suis incapable de m'en empêcher (je viens-tu vraiment de me pencher la tête sur le côté pour faire une joke cute (?) sur sa signature moi là?? ). Reste que j'ai l'impression qu'il était ben partant de par son attitude et le fait que la conversation se soit terminée par lui qui s'invite à venir voir le fameux projet pour lequel il approuvait les reçus.  Quoique c'est peut-être juste de la smatteté générale, ce qui est quand meme ben appréciable. Reste que depuis  je me demande si mon "Ben oui, tu passeras faire un tour" était suffisamment invitant. J'aime ca être une fille.

mercredi 9 mai 2012

Huit chandelles

Trop aimer, c’est confondre amour et souffrance. -Norwood

Les évènements des derniers temps, les lectures des derniers jours et un constat : je change mais ne change pas. Un anniversaire relationnel aujourd’hui. Souvent je me suis dit, depuis cette fois-la, que j’avais fait du chemin. Lentement mais surement. Une relation moins fuckée à la fois. Mais aujourd’hui je m’interroge. Je me suis vraiment améliorée ou j’assume mieux ma fuckaison? Les peurs enfouies dans les tréfonds de mon âme sont peut-être seulement plus près de la surface. Plus accessibles. Moins déguisées. Agies plus consciemment. Mais toujours présentes. Comme mes petites voix qui ne sont plus en sourdine. Je comprends mieux mais je ne comprends toujours pas. Pas vraiment à tout le moins. Je me sens un peu brumeuse. L’appel irrésistible de mes vices. La difficulté à en gérer les contrecoups. La terreur et la jouissance de tenir les rênes.