lundi 28 novembre 2011

Confusionnée

C'est dans un état de confusion sentimentale (et parfois mentale tout court)que je me retrouve perpétuellement depuis une semaine. Ne me demandez pas si ca va, ca ira toujours. Sauf si je vous texte a 11h le soir en me plaignant legerement. Ca veut dire que ca va pas mais je sais pas comment d'autre vous le dire. Bref, chu mêlée.

Hier j'écoutais un film suggéré par le Gentil Touriste, en me disant que l'ex l'aurait ben aimé. Je revasse des scénarios romantiques aevc Touriste en me parlant toute seule et quand j'entends un bruit dans l'escalier, j'espere et je redoute une visite surprise de l'ex. Ah et Monsieur 'Tavales-tu au moins' qui commence a me réécrire. Non mais han.

Téléphone de fin de soirée d'une amie hier pour me parler des déboires facebookiens d'une connaissance et me raconter la finale d'OD. Délirant sur le sujet, on en est venue a deux grandes conclusions:

1) Ma vie me semble soudain plus simple.
2) Nous aussi on devrait avoir 10 000$ de meubles et une maison quand on est sur le bord de mettre fin a une relation que tout le monde sait ne pas avoir d'avenir réél.

mercredi 23 novembre 2011

Novembre: la suite

C'est de manière non préméditée que j'ai laissé le seul homme que j'aie jamais vraiment aimé dans le milieu de mon salon un dimanche matin. Un cri du coeur, exaspéré d'une demi-présence qui lui rappelle tout ce qu'il n'a pas.

Le choc initial passé, c'est en soirée que ca se complique. Que l'autobus me laisse seule avec ma peine. Que je n'ai plus la force de mentir, de masquer et de bercer mes émotions. Que les questions affluent. Que l'angoisse me rattrape. Que mon mal se nourrit dans mon frigo. Que le sommeil m'entraine sur des pentes glissantes où mes rêves et mes rêveries s'entremêlent et me troublent.

samedi 12 novembre 2011

Novembre

Les mois passent, les semaine défilent. À toute vitesse. C'est fatiguée mais stimulée que j'accueille ce premier matin enneigé. La satisfaction du travail accompli, l'angoisse devant l'ampleur de la tâche.

Quant aux amours, elles restent floues; les limbes entre un passé douillet et un avenir prometteur. Mon coeur et ma tête tournent sans cesse, mais rien ne se tranche, rien ne se crée. Tout se transforme. Tout doucement.