mercredi 24 août 2011

TMI

Hier apres-midi je relaxe dans le salon quand j'entend un bruit étrange venant d'en haut. On dirait une cireuse a plancher mais...pas tout a fait. J'entend des portes ouvrir des bruits de pas, des voix et je classe le tout comme un quelconque bruit d'appart.

Une heure plus tard, je lis dans ma chambre quand je réentend le bruit de cireuse. Mais rien d'autre. Pas de bruit de pas, de porte, de voix, rien du tout. Je me concentre sur le bruit quand il se met a changer rapidement.En alternance.

Je pense que ma voisine a le même vibrateur que moi.

vendredi 19 août 2011

Check ben

Ok ce post est completement gratuit mais j'en profite pour ventiler legerement (dailleurs faites donc des commentaires jaurais moins l'impression de poster dss le vide :P) Revenons-En a mon chiailage inutile. J'ai une montée de lait a matin contre l'utilisation abusive du mot Check. 9ds le sens cocher du terme)

Check sert a qqchose qui meriterait d,être sur une liste comme visiter le taj mahal, frencher son fantasme ultime, s'asseoir dans une décapotable en sautant par-dessus la portiere (comme ds Grease). Check, check check. .Ca sert aussi pour uneliste de choses importantes mais plates du style commissions pre-mariage.

Mais check ne sert pas a dire qu'on a fait quelque chose en general dans la vie. 'Partir en vélo le matin: check'. Non pas check. C'est pas majeur ni important. On s'est fout. Ca se checke pas bon. C'est comme se gratter la jambe CHECK ! regarder le plafond: check! inspecter la lame de son rasoir: CHeck!

Chialer contre l'usage abusif d'un mot: PAS CHECK !

mercredi 10 août 2011

Dans la salle d'attente

Je ne dormais plus. Les fantômes qui habitaient les cauchemars de l'enfance n'ont pas sitôt fait de se dissiper qu'ils sont remplacés par les spectres de nos plus douloureuses passions. A quel âge commence-t-on a faire ses nuits? A quel âge recommence-t-on à ne pas les faire? - Claudia Larochelle


Parfois dans des moments sombres, j'ai l'impression que je n'y survivrai jamais. A la vie, a la souffrance. Je ne doute plus de ma survie mais parfois du prix qu'elle m'a coutée. Ces dernières années, j'ai parfois eu l'impression que je deviendrais béton armé. La t-fal des bons sentiments. Peut être des sentiments tout court. Mais force est de constater que mon âme bouillonne toujours. Alors peut-être que je n'aurai jamais aussi mal qu'avant. Parce que mon coeur a de la corne. Parce que le plus gros de mon innocence n'existe plus. Parce que j'en ai vu d'autres. Moins blessée car mes attentes ne sont plus ce qu'elles étaient. Je tombe d'un peu moins haut. Mais il arrive que, tel un vin mal accordé, il soit difficile de conjuguer la colère et l'inquiétude. D'en vouloir a quelqu'un tout en réalisant à quel point on tient à eux. Dans certains cas, c'est le cercle de la vie dans d'autres, les méandres de l'amours, les détours de l'amitié ou la froideur des relations sociales.

Il y a quelques semaines, la mort est venue cogner à la porte et s'est installée dans la salle d'attente. Elle fait son agace avec quelqu'un avec qui j'ai des souvenirs précieux, des moments troubles, des rancunes que j'avais mis en veille pour le bien commun. Mais maintenant que sa mortalité est à mes yeux plus imminente que jamais, je me sens confuse. Plus bouleversée que je ne l'aurais crue. C'est difficile d'en parler a ceux qui l'aiment, difficile à expliquer pour qui ne l'a pas connu. Je n'ai vécu un début de deuil comme ca avant. Parce que soit que j'aimais la personner sans conflits. Parce que je l'aimais de loin. Peut-être un peu de culpabilité de n'avoir pu la connaître davantage, de pas n'avoir fait plus pour elle. Mais que des sentiments positifs envers cette personne. Mais maintenant, c'est difficile de gérer des émotions qui me tirent dans les tous les sens. Auxquelles je ne peux m'abandonner car la vie elle aussi est dans la salle d'attente. Pour rester forte car d'autres proches souffrent de la situation.

J'ai croisé l'ex sur msn. La seconde ou il m'a dit bonjour, les larmes ont jailli. Comme si jamais trouvé un petit recoin ou être en sécurité. Ou laisser aller. Ou me laisser aller à ma faiblesse en toute quiétude.

mardi 9 août 2011

Le grand saut

En remagasinant mon fournisseur internet, une idée folle m'est venue: ne pas avoir Internet a la maison. Apres tout je passe mes journées devant un ordinateur et je n'ai qua aller ds un café avec mon portable si j'ai envie d'internet un soir. En plus ca me sauverait des sous.

Merde Internet cest si pratique. Je peux aller fouiner quand je veux, réserver des lifts quand je veux, vérifier des trucs quand je veux, aller chercher des recettes quand je veux. Mais la attendre pour consulter Internet: quelle torture. Cette panique la m'a donné le gout d'essayer de vivre sans. Suis-je si accroc a Internet? (ai-je vraiment besoin de me poser la question) Et qu'est-ce que je fais de si important avec Internet par les temps qui courent? Combien de temps je perds la dessus chaque semaine?

Ca me remet en tête la réflexion que j'aie quand je vois des accrocs de la technologie à l'effet que plus les gens peuvent communiquer rapidement, moins ils sont patients. Les gens qui paniquent quand on ne répond pas immédiatement a leurs textos non urgents me troublent. Avant j'étais arriérée car je n'avais pas de cell. Maintenant je suis arriérée pcque je n'utilise pas Internet sur mon cell et qu'il m'arrive de devoir patienter une heure ou deux avant de savoir quelque choses. Et je vais retourner tout droit a l'époque du début du secondaire: la vie sans Internet a la maison. Simplicité (ou cheapeté) volontaire ?

dimanche 7 août 2011

Harem girl


'Car je fréquente le même homme depuis des années. Je suis une monogame en série' -India Desjardins

Ah les affres du non-assouvissement sexuel. Je suis salement du pour me repartir un (mini)harem. Pour l'instant, ca se résume à: '*Dial tone*. L'amant que vous avez composé n'est pas disponible/satisfaisant/une bonne idée. SVP raccrochez.'Ce qui me laisse dans un état ou trois fois par jour ma tête me dit 'Non Ju, yé pas vraiment beau ce gars là' alors que mon corps hurle 'Fourre-le, fourre-le!"

D'ailleurs, la semaine passé j'ai recroisé un ancien membre du harem--ben du harem de frenchage mettons car on a jamais conclu. Le genre de gars beaucoup trop fin. En fait il est connu sous le nom de 'Bec de matante/pigeon sur un sein' et qui par le fait même constitue la limite de notre vaste étendue sexuelle. Toujours est-il que je me promenais avec un amie, bien arrangée (thank god) quand je l'ai vu sur une terrasse avec une fille, au resto ou je lavais amener a notre première date (un resto indien alors que c'est le genre de gars st-hubert dans l’âme) et il portait la même chemise qua notre première date. Il m'a souri, gêné, et ma seule pensée a été 'Ca m'a deja tenté de te frencher toi? Hahahahhahaha'

Comme quoi mon jugement résite mieux (???) aux assaults de mes hormones.

vendredi 5 août 2011

Vacances 2011

Le bonheur c'est dévorer un roman et du saucisson. C'est trouver chaussure vintage a son pied et béret à sa grosse tête. Savourer un nougat et la chaleur eucalyptique. Sentir le vent du souvenir dans ses cheveux, la fleur de coton et le hamac moisi. Contempler le fleuve et les vertes prairies de Percheville. Rire aux éclats et faire un doigt d'honneur. Bien connaître sa palette de goût et recharger ses batteries.